L’Alchimiste

 

de Paulo Coelho

 

 

 

Nous faisons connaissance d‘un jeune berger du nom de Santiago.

Ses parents très pauvres le destinent à devenir prêtre et l’envoient faire des études au petit séminaire.

Santiago se rend compte qu’il n’a pas la fibre religieuse, courir le monde l’attire. Avec courage, il s’en explique à son père qui le comprend et l’envie. Il lui donne quelques pièces pour acheter un troupeau de moutons.

Grâce à ses brebis, notre berger insouciant et rêveur va voyager à travers son pays l’Espagne, il rencontre des personnages bizarres : un marchand de pop- corn, une vieille femme, un roi qui lui prédit la découverte d’un trésor au pied des pyramides.

Ces rencontres l’invitent à quitter l’Espagne, Tanger, ville où il se fait voler toutes ses économies l’oblige à trouver un travail chez un marchand de cristaux.

Fortune à nouveau faite, il part avec une caravane, à travers le désert, rejoindre l’Egypte et ses pyramides.

Il va y découvrir l’amitié, parler une nouvelle langue, l’arabe, la connaissance grâce à la lecture et surtout connaître l’amour.

Son voyage est semé d’embûches, il se heurte à de nombreux obstacles et surmonte de difficiles épreuves. Il hésite par moments d’interrompre son périple et rentrer chez lui. Mais sa quête du trésor et la rencontre avec l’alchimiste l’incite à poursuivre son chemin.                

On s’identifie facilement à ce jeune garçon curieux de connaître les coutumes étrangères, la foi, la spiritualité.

Ce conte philosophique nous montre qu’il est important de croire en ses rêves et de vouloir les réaliser. L’obstination devient une valeur positive. Et surtout, savoir que le plus grand des trésors, c’est la confiance dans son destin.

 

 

                                                                                                      Françoise Hurtaud